Chaque fois qu’une œuvre musicale est enregistrée, il y a de droits d’auteur distincts qui existent :
Exemple : La chanson « I Will Always Love You » a été écrite par Dolly Parton, mais une version très célèbre a été enregistrée par Whitney Houston.
C’est la maison de disque de Whitney Houston, Arista, qui contrôle les droits de la bande maîtresse. Dolly Parton contrôle les droits de la composition.
Chaque fois qu’il y a un achat (copie physique d’un CD, ou téléchargement) ou une DIFFUSION EN CONTINU SUR DEMANDE de cette chanson sur un service comme Spotify ou Napster, la maison de disque ET les auteurs-compositeurs doivent être payés. La somme payée aux auteurs-compositeurs est ce que l’on appelle une redevance mécanique.
Aux États-Unis, en ce qui concerne les diffusions en continu sur demande (p. ex. Spotify, Napster, etc.), c’est la responsabilité du commerçant d’administrer les paiements de redevances mécaniques aux auteurs-compositeurs. Le problème, c’est que ces commerces n’ont pas investi dans les infrastructures nécessaires pour administrer adéquatement ces paiements. La majorité fait donc appel à de tierces parties pour s’occuper de cette administration. De nouveau, le problème est que ces tierces parties ont de la difficulté à payer avec précision (nous estimons qu’elles ont un taux de jumelage de 65 à 80 %, ce qui signifie que de 20 à 35 % ne sont pas payées) et à temps (la loi stipule que ces commerçants doivent payer mensuellement, mais la majorité paie moins qu’une fois par trimestre).
C’est ici qu’Audiam entre en jeu — le service d’administration de droits numériques d’Audiam va chercher l’argent qui vous est dû pour les diffusions en continu sur demande et les autres utilisations numériques de votre musique.
Il est important de noter que nous ne sommes pas un administrateur d’édition — nous travaillons plutôt au nom des administrateurs d’édition ou des auteurs-compositeurs autoédités afin de les aider avec ce secteur particulier de l’édition musicale.